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À PROPOS DU SACRE DU PRINTEMPS

ARTICLE DE PATRICK THIBAULT PARU EN FEVRIER 2022 DANS LA MAGAZINE WIK NANTES SAINT-NAZAIRE

MUSIQUE et danse !

“Nouvel artiste associé du Théâtre, Louis Barreau est un jeune chorégraphe brillant. Sa force, c’est de réussir à faire dialoguer danse et musique. Il dit : “je cherche à donner à voir la musique dans l’espace-temps, par l’intermédiaire du corps en mouvement” et il y parvient. Après avoir travaillé autour du Boléro de Ravel et sur les Cantates de Bach, il s’est attaqué au Sacre du Printemps. L’intense musique de Stravinsky résonne en chacun de nous et c’est Nijinsky qui en a signé la première chorégraphie. Un défi qu’il relève magistralement. Portés par la musique et une chorégraphie inspirée, les cinq danseurs sont tous présents du début à la fin. On salue, la technique, la précision et l’émotion qui s’en dégagent. Louis Barreau tire les fils musicaux, gestuels, relationnels… C’est magnifique et profond, on en ressort gonflé d’énergie.”

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EXTRAIT DE L’ARTICLE DE PHILIPPE VERRIELE PARU EN FEVRIER 2021 SUR LE SITE DANSERCANALHISTORIQUE

« Le Sacre du Printemps » de Louis Barreau

“Pour bien connaître, je crois, Le Sacre du printemps comme forme chorégraphique pour en avoir vu -littéralement- des dizaines de versions (Louis Cyr, le fameux musicologue canadien, venu voir l’exposition que j’avais organisée pour les Hivernales m’avait alors confié qu’il en existait, déjà, près de 400) je n’ai pas encore résolu un mystère. Or, voir le Sacre de Louis Barreau, au Quatrain de Haute-Goulaine dans le cadre des rencontres pro qui suppléent l’annulation du festival Trajectoires, donne un début de réponse. 

[…]

Ce jeune chorégraphe, qui en est à sa sixième création, toutes profondément ancrées dans un rapport analytique à la musique, proposait un Sacre. C’est normal. Le Sacre du printemps est une affaire de jeunes (Nijinski avait 24 ans, Maurice Béjart, 32, Pina Bausch 35 quand ils ont chorégraphié le leur). Martha Graham est quasiment la seule qui conclut pratiquement sa carrière par un Sacre composé à l’âge de 90 ans.

Donc Louis Barreau a l’âge du Sacre et le sien appartient à la catégorie des analytiques gonflés ! Comme celui de Daniel Léveillé (1982) pour lequel quatre danseurs à « oilpé » sautent comme des damnés dans une agitation frénétique inspirée au chorégraphe canadien par celle des grands magasins la veille de Noël… 

Donc chez Louis Barreau, aucune scénographie sinon une trace de maquillage étrange et bleue sur chacun des cinq interprètes affutés comme des rasoirs, en tenues de ville. Ils entrent résolus ; se campent le long de la rampe, face au public qu’ils toisent, plus comme on juge d’un obstacle que par défi. Toujours en silence, ils engagent le mouvement. Et la musique s’élève qu’ils s’attachent scrupuleusement à suivre, marquant de légers changements d’orientation les multiples imbrications des thèmes, rendant visible les multiples couches de la partition qui s’entremêlent. Ils enchaînent les figures avec une fluidité qui parait n’obéir qu’aux seules inflexions de la musique. Le chorégraphe explique : « Pour chaque partie, j’ai pris le temps d’établir des « structures de composition », plus ou moins « vierges », faites d’éléments par exemple spatiaux, relationnels ou temporels », précisant « En fonction des parties, ces “structures de composition“ étaient plus ou moins précises, plus ou moins réglées, parfois extrêmement détaillées, parfois vagues. Elles constituaient le squelette, la grille de base à partir de laquelle nous commencions la composition […] au plateau. » Et ce travail ne s’entoure d’aucun artifice, d’aucun prétexte ou faux-semblant dramaturgique, donnant à voir le fonctionnement de la musique depuis l’intérieur du corps des danseurs et sans encombrer d’un quelconque « drama » extérieur à la dynamique de la partition propre. Avec ce paradoxe que ce n’est pas la partition que fait voir la chorégraphie, mais l’interprétation -ici celle très engagée et lyrique de Valery Gergiev- au point que les silences que marque le chef sont scrupuleusement composés par le chorégraphe.

Dans le fond, Louis Barreau me semble traiter le Sacre comme Odile Duboc avait traité le Boléro (Trois Boléros ; 1996), dans un genre de phénoménologie de l’écoute. Le chorégraphe le reconnaît : “nous travaillons énormément avec les danseurs le lien entre la structure musicale mathématique avec laquelle ils sont plus ou moins reliés et ce qu’ils entendent, ce qu’ils écoutent, avec leurs oreilles et leurs corps, dans cette structure. […] Ainsi, je leur demande toujours d’être avec la musique, ou en face de la musique, jamais sur ou sous elle.”

[…] »

À PROPOS DE CANTATES / 1

ARTICLE DE VÉRONIQUE BOUDIER PARU LE 18/04/21 SUR LE SITE ÔLYRIX

Cantate lyrique et chorégraphique à Rennes

“À l’initiative de l’Opéra de Rennes, Le Triangle (Cité de la danse) accueille une résidence de recherche artistique à objectif pédagogique, réunissant le chorégraphe Louis Barreau, la danseuse Marion David, le chanteur et chef d’orchestre Damien Guillon ainsi que des musiciens du Banquet Céleste et des étudiants de la classe de chant lyrique du Pont Supérieur :

Après une collaboration avec le danseur Aurélien Oudot pour Dreams en novembre dernier, le chanteur et chef d’orchestre Damien Guillon renouvelle l’expérience d’une rencontre vivante entre la musique et la danse, cette fois-ci avec le chorégraphe Louis Barreau. Cette rencontre, sous forme de résidence de recherche a été impulsée par le directeur de l’Opéra de Rennes, Matthieu Rietzler, et permet ainsi aux artistes, durant cette période de crise sanitaire, de se rencontrer, de travailler, de s’enrichir par le partage de compétences et de transmettre également leur savoir.

Louis Barreau, jeune chorégraphe nantais, s’intéresse à la musique de Jean-Sébastien Bach et plus particulièrement aux cantates. Sa pièce CANTATES / 1 (créé le 18 janvier 2020 au musée de Nantes) est le premier volet d’une série chorégraphique sur les cantates de Bach qu’il s’engage à développer jusqu’à la fin de sa carrière. Le questionnement de cet artiste à forte sensibilité musicale consiste à déployer ces cantates, de leur présence sonore vers le corps dansant, devenant un passeur entre musique et spectateur. Il a donc trouvé son partenaire pour une démarche au plus proche de l’esthétique de Bach en Damien Guillon et son Ensemble Le Banquet Céleste (qui interprétaient récemment les Oratorios de Pâques et de l’Ascension en l’église Saint-germain de Rennes).

Pendant quatre jours s’est donc tenu au Triangle (Cité de la danse à Rennes) un travail de recherche et de partage afin de proposer une correspondance musicale et chorégraphique sur la Cantate BWV 61 « Nun komm, der Heiden Heiland » (Viens maintenant, Sauveur des païens). Écrite en 1714 à Weimar, cette cantate s’ouvre par une ouverture/choral à l’écriture dite « à la française » (lent, rapide, lent) dont le rythme se révèle propice à la chorégraphie. La danseuse Marion David, seule, engage le mouvement en silence, s’attache à suivre la musique qui s’élève par une danse épurée et mesurée, marquant par des changements d’orientation les lignes structurantes de la musique.

Peu à peu, le corps établit un lien avec les musiciens du Banquet Céleste, le chef et les chanteurs, pour tous rentrer à l’unisson dans la temporalité incarnée de l’instant présent. Les instrumentistes sont toujours autant à l’aise dans ce répertoire par leur écoute du soliste lors des dialogues chant/instrument (comme par exemple le violoncelle avec la voix de soprano). Mais ici, ils sont également à l’écoute de la danseuse puisque c’est elle qui “mène la danse”, tout autant que le chef d’orchestre donnant certains départs. Ils sont aussi une présence vitale et charnelle pour cette chorégraphie sur une musique vivante et non pas pré-enregistrée. 

Participent également à ce projet les étudiants chanteurs du Pont Supérieur issus de la classe de chant lyrique de Stéphanie d’Oustrac et d’Olga Pitarch. Les huit chanteurs lyriques abordent dans leur cursus différents styles et différentes esthétiques musicales mais sans être spécialisés en chant baroque. Pendant ces trois jours, ils reconnaissent avoir beaucoup de chance de travailler avec Damien Guillon et ses musiciens mais aussi de découvrir l’univers de la danse, et des liens possibles entre ces deux arts. 

Attentifs aux gestes du chef d’orchestre et de la danseuse, précis dans leurs interventions, ils mettent en évidence les inflexions du texte et de la phrase musicale pour la rendre expressive et compréhensive. L’ensemble a également un horizon de travail et d’amélioration tout tracé, qui consistera à renforcer l’homogénéité, notamment des graves. 

Flavien Maleval, jeune ténor à la voix déjà bien timbrée et soucieux de la prononciation de la langue allemande, reconnaît avoir été au début effrayé mais grâce à la bienveillance de Damien Guillon qui lui a ouvert les portes d’un vrai travail stylistique, il a découvert « la joie de la musique baroque que l’on peut trouver austère au premier abord ».

Tout comme Sarah Rodriguez, soprano au timbre clair et lumineux où se perçoit déjà une certaine aisance des ornements (notamment grâce à sa formation au Centre de Musique Baroque de Versailles) qui trouve rassurant de travailler avec Damien Guillon : « Il a beaucoup d’humanité » confirme-t-elle.

Pour parfaire cette résidence, ce sont quatre étudiants de l’ESRA (Ecole Supérieure de Réalisation Audiovisuelle) qui réalisent la captation de cette restitution sous forme de filage et non de concert.”

EXTRAIT DE L’ARTICLE DE THOMAS HAHN PARU LE 18/01/20 SUR LE SITE DANSERCANALHISTORIQUE

Festival Trajectoires : Libertés chorégraphiques à Nantes

[…]

Au musée, avec Bach et Barreau

C’est une belle histoire de liberté(s) aussi que de pouvoir faire surgir la danse contemporaine dans les salles d’un musée d’art. Celui de Nantes, magnifiquement restauré et rouvert en 2017 après six ans de travaux, a accueilli plusieurs solos présentés en résonance avec les tableaux et sculptures des collections permanentes. La danse de Marion David dans Cantates / 1, une chorégraphie de Louis Barreau sur la Cantate Nun komm, der Heiden Heiland est pourtant très mesurée. Avant que la danseuse arpente la salle, passant quelquefois entre deux sculptures du 19esiècle (Alfred Jacquemart, Jean-Léon Gérôme), elle arpente le sol, au sens concret, en compagnie du chorégraphe, fixant quelques repères à partir d’un point central. 

Épure, rigueur et sentiments, comme pour croiser la joie de la danse baroque avec la précision d’une Anne Teresa De Keersmaeker. Ce qui se joue là est tout un bal, dansé par une seule personne, où parfois un partenaire invisible semble la rejoindre. Une danse avec l’art, en somme. Louis Barreau la proposera pour des lieux chargés d’histoire mais aussi pour la scène, et construira une série de Cantates. Celle-ci, la première, a donc été inaugurée avec succès et avec elle le projet entier, dans le cadre de Trajectoires 2020. Un beau vernissage chorégraphique, où le geste de l’interprète relie l’ici-et-maintenant aux strates du temps qui nous ont précédé et nous ont laissé tant d’œuvres. Pour Barreau, la rigueur formelle de cette danse ouvre « des portes et des fenêtres qui n’auront comme intérêt final que de nous accompagner, avec le spectateur, vers davantage de liberté et de détachement. »

[…]

À PROPOS DE MONTAGNE DORÉE

ARTICLE DE GENEVIÈVE CHARRAS PARU LE 11/02/19 SUR LE SITE DE GENEVIÈVE CHARRAS

« MONTAGNE DOREE » de Louis Barreau : Bach et Terpsichore en baskets !

L’échapée belle !
Avec Félix Dalban-Moreynas (piano), Marion David et Thomas Regnier

« Deux danseurs tentent d’entrer en harmonie profonde avec les Variations Goldberg de J.S. Bach. Peu à peu, les corps à l’unisson s’allègent, s’émancipent de leurs affects, tentent de n’être plus que mouvements, formes et sensations. Propulsés en position d’observateurs de leurs propres émotions, les danseurs et le pianiste atteignent une qualité de lien qui les fait entrer dans une autre temporalité, celle d’un instant présent constamment renouvelé. Assis devant un paysage de gestes qui se fond dans l’architecture de la musique, chaque spectateur est invité à vivre par procuration cette expérience sensible, comme une ascension en trente variations. »

Que le jeu demeure !
C’est avec nonchalance et décontraction que démarre le duo homme-femme tout de blanc vêtus, baskets blanches aux pieds Virevoltes, roulades au sol, petits sauts piqués, relâchés, l’envolée commence, légère, futile, aérienne. Les directions bien engagées, versatiles, le haut et le bas inversé, quelques accélérés, bras tendus…C’est radieux et très « cunningham », droit ou les axes en péril, bras en arceau…Le duo progresse en intensité, déploie sa danse en spirale, enroulés, ralentis et contacts au sol, comme une balade, sautillante, joviale, lumineuse. Les éclairages varient d’une intime combine à de beaux pleins feux, maniés de main de maître par Françoise Michèle aux consoles !
Des variantes ludique égrènent les déplacements, très écrits et calculés, ramassés ou éclatés comme des atomes ou électrons libres. La musique live délire toutes ses savantes avancées, très maîtrisées, basse danse, précieuse et quasi baroque, perle rare et « racée », sophistiquée à l’envi. Moults phases diversifiées nourrissent le propos chorégraphique qui avance, jubilatoire : parfois de l’imperceptible, de petit bougé dans l’immobilité feinte ravivent l’écriture, syntaxe acrobatique sur les notes voltigeantes de Bach. Danser Bach est chose noble et fertile , savante et périlleuse, mais ici la performance des danseurs, plus d’une heure durant ne lasse pas et les contrepoints, croches et virtuosité musicale ne font qu’un !
Vivace et relevée, la danse s’empare de la musique pianistique en proximité salvatrice pour épouser la musicalité des corps dansant, franchissant les rives et dérives de Bach dans toute clarté et allégresse.
La danse transporte les sons, les dépose ou les emmène loin, très loin.
Le temps d’une pause, à l’écoute, allongés au sol les danseurs cessent de vibrer, puis reprennent avec allant, les transports amoureux de ses notes célestes.
Des échanges plus dynamiques se propagent entre les deux danseurs, souriants, généreux, haletants, respirant d’un souffle commun ces variations audacieuses. En miroir, en décalé ou à l’unisson, complices, ils se relèvent, gestes tranchés, en petits tours rapides, pieds flexs…Tout un vocabulaire ou abécédaire connu mais recomposé avec astuce et pertinence. Etirements, glissés, alors que les éclairages variables et sensibles magnifient et sculptent les corps mouvants.
Une partition chorégraphique, composition musicale stricte et volage à la fois, illumine tracés et déplacements. Des axes oscillants pour démarquer une certaine rigidité axiale. Le plexus solaire irradiant le tout, offert au regard et au rythme de la danse !
Penchés, renversés, tordus ou gracieusement projetés dans l’espace, les mouvements jaillissent comme la musique et Bach de se réjouir d’avoir trouvé complices à sa mesure sans fausse note ni fugue !”

EXTRAIT DE L’ARTICLE DE THOMAS HAHN PARU LE 06/01/19 SUR LE SITE DE ARTISTIKREZO.COM

Faits d’Hiver : La danse sans limites (d’âge)

[…]

Variations Goldberg
L’idée d’éclats chorégraphiques harmonieusement reliés porte aussi l’ascension de la Montagne Dorée de Louis Barreau, jeune chorégraphe qui suit, dans ce duo, le fil des Variations Goldberg de Bach : trente danses formant un « paysage de gestes ». 

[…]

À PROPOS DE BOLERO BOLERO BOLERO pour 1 performeur

ARTICLE DE FANNY BRANCOURT PARU LE 12/10/17 SUR LE SITE THE ARTCHEMISTS – GENERATEUR D’ETINCELLES CULTURELLES

LES PLATEAUX DE LA BRIQUETERIE 2017 : BOLERO BOLERO BOLERO POUR 1 PERFORMEUR… LA RÉPÉTITION, CETTE FORCE INCOMMENSURABLE 

“Vendredi ensoleillé – parvis de la Briqueterie : Les Plateaux battent leur plein tandis que Louis Barreau s’apprête à danser son boléro. BOLERO BOLERO BOLERO pour 1 performeur, est la version de ce chorégraphe, danseur et musicien formé au conservatoire de La Roche-sur-Yon. L’écriture chorégraphique de Louis Barreau émane avant toute chose de l’ostinato rythmique de la partition du Boléro de Ravel. Pendant près de 20 minutes, il va ainsi décliner sa phrase chorégraphique. A l’horizontale ou à la verticale, cette dernière s’inscrit et se développe dans l’espace avec une intensité grandissante. La composition de Ravel est tellement puissante que s’y confronter relève du défi. Louis Barreau nous propose donc une partition dansée s’appuyant parfaitement sur la musique et qu’il déplace de manière minutieuse, la faisant spiraler. La phrase chorégraphique répétée, accumulée, déplacée crée ainsi une figure fractale. Ce n’est alors plus le corps qui se meut mais la musique qui meut le corps et le transporte d’un espace à l’autre, d’une hauteur à une autre jusqu’à l’ultime ascension musicale.
BOLERO BOLERO BOLERO pour 1 performeur par l’ostinato rythmique sur lequel il s’appuie, déclenche rapidement différentes sensations, de puissance bien sûr, de révolte, d’acharnement, de combat, comme si la répétition donnait une force incommensurable. Ici, la force musicale prend toute la place. La danse de Louis Barreau est fluide et l’apparente tranquillité se transforme au fur et à mesure du morceau. Mais il ne se dégage rien de ce duo qu’il tisse avec le morceau de Ravel. Le visage laisse transparaître la physicalité que l’écriture chorégraphie et la présence à la musique demandent, mais pas plus que cela. Il n’est pas ici question d’incarnation. On se laisse porter par cette danse à la couleur pastel (et ce malgré les pantalons et tee-shirt jaunes du danseur) sans autre intention. Une danse sans événement. Un visage sans événement. Une partition qui accompagne une autre partition, tout simplement.”

Les photographies de cette page ont été prises par : Louis Barreau, Emily Bonnet, Marion David, Roger Fusciardi, Alexis Komenda, Thibaut Montamat/Didier Olivré.